
Semaine du 15 au 21 décembre 2025
« C’est quand il n’y a plus d’espoir, que l’espérance commence.»
Jean Debruynne
Réflexion
«Même si «le monde a de la haine» contre nous, nous résisterons à la tentation de nous protéger de lui, de nous en séparer,
voire de prendre nous-mêmes en haine ce monde «prisonnier du péché». Plutôt que de choisir la confrontation, nous nous rappellerons que «Dieu a tellement aimé le monde qu’il a envoyé son Fils pour le sauver». Si nous devons dénoncer ce qui, dans
ce monde et dans la culture contemporaine est déshumanisant, contraire à l’Évangile et à la dignité humaine, nous le ferons courageusement, avec douceur et respect, sans omettre de commencer par le repérer dans notre propre cœur. Mais nous
ne rêverons pas d’un monde idéal où tous reconnaîtraient Jésus et suivraient ses voies sans hésiter et sans errer. Entraînés par
Jésus, au contraire, nous assumerons le fait de vivre dans un monde marqué par le refus et le rejet, dans la confiance et l’espérance que ce monde-là, parce que Dieu vient à lui pour de vrai, pourra être transformé de l’intérieur. »
(Lettre des Évêques de France, n° 20)
La tentation de nous séparer du monde : est-ce vrai pour moi ?
Actualités
Un itinéraire au centre de Rome, invite à redécouvrir des femmes patronnes de l’Europe et docteurs de l’Église :
– Thérèse Bénédicte de la Croix, née Édith Stein, juive philosophe puis carmélite, décédée en 1942 dans les chambres à gaz d’Auschwitz,
– Brigitte de Suède, au XIVe siècle, mariée, mère de 8 enfants, puis veuve, fonda un ordre consacré au Très Saint-Sauveur.
– Catherine de Sienne encouragea le pape Grégoire XI à quitter Avignon pour Rome en 1377.
Ces femmes ont œuvré pour la paix ; elles méritent d’être davantage connues.
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