Léguer au diocèse de Quimper et Léon, c’est « transmettre tout ou partie de son patrimoine pour donner les moyens à l’Église de poursuivre sa mission », explique Jacques Leroux, adjoint à l’économe diocésain. Pour ce faire, trois possibilités : la donation du vivant, le legs au décès et l’assurance-vie. « C’est une façon de s’assurer que ce à quoi on tient et on croit se poursuive après soi. »
Bien sûr, il faut « veiller à respecter la réglementation. Il n’est pas possible de donner la totalité de son patrimoine, en écartant ses enfants par exemple ». Pour s’assurer du respect des dernières volontés, il est recommandé que le testament soit déposé chez un notaire, qui le fera inscrire dans un registre national. « Les legs nous aident à investir et à rénover notre patrimoine mobilier et immobilier. Lorsqu’on lègue au diocèse, c’est la solidarité diocésaine qui se joue. Nous pouvons apporter un soutien financier dans les paroisses où c’est nécessaire », poursuit Jacques Leroux.
Pour le diocèse, les legs ne sont pas affectés aux travaux d’entretien habituels. Ils servent davantage aux travaux de réadaptation de maisons paroissiales, par exemple. « C’est un montant très fluctuant. Par exemple, en 2020, nous avons reçu 361 000€ de legs et donations et en 2021, 2,38 millions d’euros. »
Pourquoi léguer, si on donne déjà au denier ? « Le denier, ce sont les catholiques d’aujourd’hui qui participent au fonctionnement de leur Église pour que la mission se poursuive. Dans le legs, il y a une notion d’avenir. C’est une participation à la transmission d’un trésor qu’est la foi chrétienne vers les générations futures. »
Plus d’infos et de renseignements auprès de l’économat diocésain :
02 98 55 34 47 / delegue.legs@diocese-quimper.fr
Ou sur www.diocese-quimper.fr/dons-en-ligne/soutenir-leglise-par-un-legs-ou-une-assurance-vie/